Attendre Godot à l’italienne, quatrième partie : de Di Natale à Lukaku, les portes coulissantes du marché du football 2012-2022

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Les dernières années de la marché du football ont été les années des grandes contradictions : ce sont les années des chiffres fous et des plus-values sensationnelles, des footballeurs des médias sociaux et des agents superstars, mais ce sont aussi les années utopiques du fair-play financier et des dettes à rembourser. Ce sont les années où, malgré toutes les tentatives pour aller dans la direction opposée, la surcharge économique des clubs gérés par des propriétés aux fonds illimités a provoqué un élargissement toujours plus grand du fossé entre « riche » e « pauvre‘, dopant le marché à hauteur de dizaines, voire de centaines, de millions.

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Tout cela n’a cependant pas réussi à éradiquer complètement l’habitude de rêver des présidents, des managers et des entraîneurs encore capables d’être pénétrés par le pur et irrésistible frisson du football ; Des rêves de gloire aux connotations plus proches des envolées pindariques ou du simple désir de compétitivité contre toute prévision réaliste, peut-être, mais néanmoins une manne du ciel pour les fans et les passionnés qui ne veulent toujours pas se rendre à la réalité d’un football de plus en plus éloigné des rues et des terrains de banlieue et de plus en plus proche des salons de la haute finance et des salles de la justice sportive : c’est le cas du premier porte coulissante dont nous allons vous parler, un témoignage de la volonté de redonner à une noble déshonorée sa gloire d’antan par un tir au rythme de la tarentelle. LIRE PLUS>>

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