Naples et l’Inter appellent, Milan répond : en Ligue des champions, c’est l’Italian Job.

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Le site phase de groupe de la compétition la plus belle et la plus convoitée de toutes, terrain d’entente pour les uns et malédiction éternelle pour les autres. Seize clubs dans le monde entierEurope ont arraché le laissez-passer pour les huitièmes de finale du Ligue des championsd’autres l’ont égaré alors qu’ils l’avaient en main et d’autres encore n’ont même pas saisi les données pour l’imprimer. Cette année, trois drapeaux italiens figurent sur la carte d’embarquement pour la phase à élimination directe : Inter, Naples e Milan. Un meilleur résultat que la saison dernière, où les Nerazzurri et les Juventus ont été les seuls à passer la première barre. Et c’est précisément de Turin qu’est venu le jugement le plus inattendu au début de l’année, avec la décision de la Commission européenne. Vieille dame qui va faire ses armes dans Ligue Europa. Un apprentissage obligatoire à l’ombre du Taupe disparu depuis 2013/14, même saison queLes derniers huitièmes de finale de Milan. Le site Diable continuera donc à entendre la musique la plus douce de son histoire, tandis que leInter s’est déjà déguisé en un électron libre. Et le Naples? Il enchante, même dans la défaite.

Rade Krunic, AC Milan
Rade Krunic, AC Milan

Milan, mission accomplie : Maldini et Massara mis à niveau

Supposons qu’une longue escalierde ceux qui, dans les films fantaisie le héros finit inévitablement par marcher. Depuis la plus basse marche, la vue est impressionnante, juste là pour le… Milan un résultat a été gravé : le match à l’extérieur 0-5 à Bergame. A partir de ce moment, les manches de Maldini e Massara ont presque atteint leurs épaules pour soulever le Diable. Et un Pioli, a Ibraun Scudetto et un qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions plus tard, les deux garants des Rossoneri peuvent enfin se retourner et regarder en arrière. L’escalier est recouvert presque en totalité, les Milan de retour dans le top 16 deEurope. Les couleurs du Milan blindé, en Ligue des champions ils savent exactement comment briller, même s’ils n’ont pas une équipe d’extraterrestres comme celle des derniers succès. Sans aucun doute, la victoire contre le Salzbourg est un symbole de qualité et de confiance, une victoire 4-0 qui ne laisse aucune place à l’interprétation. Le site Milan est de retour à sa place, personne n’a le droit de le prendre à la légère dans l’urne de Nyon. A Maldini e MassaraMaintenant, il ne reste plus qu’à fixer une nouvelle marche à gravir.

Nicolò Barella, Inter
Nicolò Barella, Inter Milan

Inter, l’exploit est là ? Inzaghi a élevé la voix

Un plat délicieux prend de la valeur quand on peut le sentir de loin. Vous ne pouvez pas attendre de vous asseoir et de le manger, le goût ne suffit plus. Simone Inzaghi a testé à deux reprises, au cours des deux dernières saisons, la huitième de Ligue des championsperdant contre Bayern e Liverpool à la tête de Lazio et Inter. Deux cuirassés, pas de mauvais chiffre. Mais le nerazzurri cette saison, qui a débuté avec le frein à main tiré, a déclenché la quatrième dans la double confrontation avec le Barcelone. Réaliser de bonnes performances, gagner et dessiner, envoyer Xavi dans une salle acclamant Viktoria Plzen. Un exploit peu considéré au moment des tirages, où ceux qui riaient font maintenant comme si de rien n’était et changent peut-être même de sujet. Le football est comme ça, même après une défaite 2-0 à Munich. Mais avec Brancardier e Lautaro en version contiana et le bureau d’un Inzaghi Fatigué de s’arrêter trop tôt, La Ligue des champions pour l’Inter est une opportunité en or.

Liverpool - Naples @ImageSport
Liverpool – Naples @ImageSport

Naples, beauté et résultats : en huitième de finale pour impressionner

Kvicha Kvaratskhelia – écrivons-le en entier parce que nous aimons les défis – il a emballé deux tunnels en 8′, à Anfield, en envoyant… Alexander-Arnold. Métaphoriquement, la manche (sur)gagnée par la Naples est à l’image de l’empressement du Géorgien qui, depuis le mois d’août jusqu’à aujourd’hui, semble résolument inattaquable. Et de la même manière, l’équipe de Spallettiqui a répété son meilleur départ en Serie A avec la seule première place du championnat italien en Ligue des championsdans un groupe avec Liverpool et Ajax. Et de terminer avec 15 points, 20 buts marqués et 6 encaissés. Des chiffres qui restituent l’ampleur de ce que le Azzurri se sont combinés dans et hors de Maradonadicter la loi à Ibrox et le Johan Cruijff Arena. Et, en partie, également à la Liverpool avant de capituler sous les coups de Salah, Darwin et L’épaule surdimensionnée d’Ostigard. Le site Naples se maintient en première division dans l’urne nyonnaise grâce à un dispositif tactique efficace avec et sans ballon, en ré-attaque, en contre-attaque et dans la phase de gestion de l’avantage pur. Qualités coachées par Spallettidont la capacité à se mettre à jour a donné à l’Europe une équipe belle et concrète à admirer à nouveau.

Finale Maccabi Haifa-Juventus
Finale Maccabi Haifa-Juventus

Juventus, du cygne au vilain petit canard : Allegri découvre l’Europa League

Le travail italien de la Ligue des champions 2022/23 a la saveur d’un en plein air brouté. Blâmer un score ne provenant pas de Juventusdont, toutefois, le bianconeri se sont fait des protagonistes : 5 défaites sur 6 et la qualification jamais remise en cause pour PSG e Benfica. En plus des dégâts, la moquerie de la relégation en Ligue Europa non pas sur la base d’un quelconque mérite, mais sur une simple question de différence de buts avec l’équipe de France. Maccabi Haifa. Le point le plus bas, en somme, de la dernière décennie de la Juventus en Europe, passant de deux finales en trois ans au voyage continental de jeudi. Allegri ne sauve le visage qu’en raison des blessures – onze indisponibles lors du dernier match contre le PSG – et l’excellent test contre Mbappe et ses compagnons. Mais une défaite à domicile Juventus n’est jamais synonyme de sourire, pas même lorsqu’elle est tempérée par la retour de l’Église et l’impact de Haricots, Miretti e Chats. Des jeunes sur lesquels fonder l’avenir, à commencer par le présent le plus difficile de la gestion Agnelli.