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La Formule 1 a toujours offert des spectacles particuliers, certains pilotes ont créé de véritables liens avec les équipes pour lesquelles ils ont travaillé. L’un d’entre eux est sans aucun doute Sébastien Vettell’Allemand amoureux de la voiture rouge. Après avoir passé le début de sa carrière entre les rangs de Red Bull et après avoir été un rival du cheval cabré de 2009 à 2014, il a signé en 2015… Ferrari. La prochaine manche du championnat aura lieu à Singapourle dernier triomphe de la numéro 5 avec le écurie de Maranello remonte à 2019 sur cette même piste. La situation de l’équipe cette saison-là n’était pas la meilleure, mais il a toujours remercié tous les membres de l’équipe après chaque victoire, même à cette époque.
La saison 2019 pour Vettel
Au sein de chaque équipe, la plupart du temps, des hiérarchies sont créées entre les conducteurs. En particulier lorsque l’un des deux a moins d’expérience, ce sera certainement celui qui a le plus de courses qui sera le premier entre les deux. En 2019 chez Ferrari vient un pilote très prometteur, Charles Leclerc, champion de Formule 3 e Formule 2. Après avoir passé un an dans Alfa Romeo Sauberdans le cadre du Driver Academy de cheval cabréon lui attribue un siège. Sebastian Vettel a en tête ce qui peut se passer entre les deux, avec lui comme fer de lance pour l’amener à son niveau, s’imposant encore plus comme le premier pilote de la L’écurie Maranello. Mais le garçon est fort et têtu et les choses ne se passent pas comme prévu.
La saison atteint les semaines de Spa et Monza et Charles Leclerc semble avoir une étape supplémentaire, à tel point qu’il a remporté les deux courses et mis en crise la position de son coéquipier. La scène qui suit immédiatement sera Singapour et c’est ici que Sebastian Vettel va commencer à prouver sa compétitivité. De là va naître un climat de tension qui se poursuivra tout au long du reste du championnat, réduisant la relation entre les deux compères à un niveau historiquement bas, allant même jusqu’à un accident à Interlagos. L’affaire sera ensuite résolue la saison suivante, lorsque les voitures ne seront pas très compétitives et que l’Allemand mettra fin à son contrat avec la compagnie. Ferrarisans être renouvelé.
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Singapour 2019 : qualifications
La piste de Singapour est un circuit de rue qui teste la réactivité des pilotes et de leur suspension. Le samedi après-midi, les séances de qualification 2019 sont diffusées, tout le monde attend de voir si le… Ferrari sera toujours aussi compétitif que lors des autres courses. Le site Q3 se concentre sur les cinq dernières voitures, avec une millième qualification impliquant : Dani KvyatSergio Perez, Lance PromenadeDanel RicciardoKevin. Magnussen et Romain Grojean. A la fin du tour, ce sera le Mexicain de Racing Point pour arriver en tête, laissant en 15ème position le Danois de Haas et en éliminant le russe de la Toro Rosso. Sur Q2 Une chose très particulière se produit, après les 10 minutes, les pilotes des cinq équipes de tête restent : Mercedes, Ferrari, Red Bull, Renault, McLaren.
Arrivé à Q3 c’est l’temps pour les pilotes de l Ferrari pour prouver qu’ils sont toujours aussi rapides que lors des deux courses précédentes. Charles Leclerc à MonzaAprès avoir remporté la victoire au tour précédent, il a décroché sa quatrième pole de la saison, sa deuxième d’affilée. Sebastian Vettel Sur le tour sec, il n’est pas aussi compétitif que son coéquipier, mais montre quand même qu’il est à un haut niveau. Le Monégasque réalise cependant un tour qui, malgré deux imperfections, lui vaut la première place sur la grille. C’est la cinquième fois cette saison et la troisième d’affilée. L’Allemand devra se contenter de troisième position après une erreur commise lors de la deuxième tentative. Il partira en deuxième ligne, derrière Lewis. Hamilton et leur coéquipier, ainsi que Max Verstappen.
Singapour 2019 : la course
Sur la grille de départ, cependant, il y a une rousse devant tout le monde, ainsi que le… Mercedes de Lewis Hamilton. Sebastian Vettel prêts sur la deuxième ligne pour profiter de toute erreur des deux premiers. Le drapeau vert arrive, les cinq feux de signalisation s’éteignent et la course commence. le Grand Prix de Singapour. Les deux Ferrari prendre un bon départ et. malgré la numéro 44 n’a pas la même réactivité, il parvient tout de même à conserver sa position. Le site numéro 5 se colle à son pot d’échappement et commence à faire pression sur lui. Tout au long du premier tour, il reste fidèle à sa silhouette, tentant de dépasser à quelques reprises. Charles Leclerc profite de la lutte entre les deux et commence à s’éloigner. Jusqu’au tour 20, la disposition initiale est maintenue, au moins pour les trois premières positions.
Il se trouve que juste après le 20e tour, le Ferrari commence à perdre de la vitesse avec des pneus rouges usés et décide de rappeler un conducteur. Le premier à rentrer est Sebastian Vettel.la cible est lesous-coupé sur Lewis Hamilton pour faire leun-deux de rouge à la fin du grand prix. Il arrive au tour 21 et le leader de la courseCharles Leclerc. Quand il est sur le point de partir, après un arrêt au stand très rapide de 2,4 secondesLa silhouette de son coéquipier apparaît sur la première ligne droite, et à la sortie, il le dépasse. Il a réalisé un tour impressionnant, qui lui a valu le dépassement de non pas un, mais deux collègues. La Mercedes fait une erreur de stratégie et revient trop tard avec les deux voitures. A la fin de la course, l’Allemand gagnera. un-deux pour le écurie de Maranello. Ce sera son dernier triomphe sous ces couleurs.
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La radio de l’équipe et l’exultation « être Ferrari ».
Une fois le drapeau à damier agité, les compliments sont arrivés de l’équipe. Sebastian Vettel lui-même répondra via la radio de l’équipe : « Merci les gars, super course, allez Ferrari toujours. Santé à Maranello, merci pour les pièces. Quelle performance ici à Singapourla voiture a été très bien, presque aussi bien que vous, merci ».. Une fois qu’il est sorti de la voiture, il était temps de monter sur le podium et vous pouvez voir qu’il porte quelque chose de blanc dans sa main. Il ressemble presque à une serviette mais au moment de l’hymne italien, il l’étale. Il s’agit d’un drapeau blanc sur lequel figure la devise : Being Ferrari. Une démonstration de son attachement à l’équipe, si le besoin s’en faisait encore sentir.